Le dernier homme
Roman d’aventure ou conte philosophique, le récit égraine ses richesses sur différents niveaux de lecture.
Aux antipodes du roman noir de
Mary Shelley, romancière britannique du 19e siècle, et qui portait le même titre, « Le dernier homme » écrit en ce début de 21e siècle par Christel Mariën ouvre au contraire sur
une harmonisation des contraires.
Les clés pour le décoder sont multiples : la création du monde, le big-bang, le clonage, le passage de la mort à la vie, la place de l’humain dans un monde de plus en plus technocentriste,
les regards pluriculturels sur les mêmes réalités, sur les mêmes questionnements, mais aussi l’allusion à de grands mythes tel celui de l’Atlantide, à de grands thèmes à la fois historiques
et contemporains, à diverses catastrophes naturelles ou provoquées, sans oublier les textes religieux… le tout suggéré l’air de rien par le biais d’un roman d’aventure qui allie densité et simplicité
dans un esprit de conciliation des extrêmes les plus opposés.
Chaque chapitre pourrait faire l’objet d’une analyse historique, scientifique, philosophique… au gré de l’imagination des enseignants.
Message
fictionnel destiné à épauler le questionnement adolescent qui peut tous nous accompagner quel que soit notre âge biologique, « Le dernier homme » est un conte, à moins qu’il ne soit le récit
d’une légende, la légende de l’éternel retour…
ISBN 978-2-9600628-2-3 (2010, 10€, vente au profit de l'asbl Foison de vie marien.evelyne@foisondevie.be
)